C’est vers 12 ans qu’il peint ses premières toiles sans la savoir influencé par les grands maîtres qu’il découvre : Jean de La Tour, Rembrandt, Le Caravage. Par cette attirance, il marque déjà son intérêt pour le clair-obscur, le travail de la lumière, le mélange judicieux des tons.
Attaché aux sens des racines à l’instar de Boltanski, il met en œuvre des reliquaires intemporels « Module sacral » qui l’engagent dans une longue période de recherches.
En 2009, il expose à Conques une série de 20 tableaux inspirés de l'histoire de la Cité Médiévale et de l'œuvre de Soulages dont il admire le travail depuis son adolescence. Sa rencontre avec l'artiste le conforte dans sa recherche créatrice et lui permet de transcender sa démarche d'alchimiste de la couleur.
D’une concentration induite déjà dans l’application des fonds de sa toile lui vient spontanément un mouvement, une couleur, un relief. D’une main sûre, il grave un texte dont lui seul souvent connait le sens. Pierre d’Huparlac indique un chemin, invente un langage et nous offre une invitation à chercher au fond de nous-mêmes une vérité par la contemplation.
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